Après le succès de la manifestation du 7 septembre, la journée de grèves et de manifestations du 1er octobre organisée par la CGT, la FSU, Solidaires et des organisations de jeunesse marque une nouvelle étape dans la lutte contre Macron et le gouvernement Barnier.
Des inégalités qui explosent
Les classes populaires continuent de subir la politique de Macron, notamment les retraitéEs et salariéEs dont les revenus ne suivent plus l’inflation. Cette perte de pouvoir d’achat profite aux capitalistes : les salaires réels ont baissé de 0,3 % en 2023, tandis que les dividendes ont bondi de 13,3 % ! Les baisses d’impôts sur le capital contribuent à l’effondrement des services publics, comme la crise actuelle de l’hôpital.
Un gouvernement libéral sous l’influence de l’extrême droite
Pour maintenir son pouvoir au service des capitalistes, malgré des défaites électorales, Macron s’appuie sur les institutions de la 5e République et s’allie avec Les Républicains et le Rassemblement national, renforçant la dérive du bloc bourgeois vers l’extrême droite.
La rue comme lieu de résistance
Face à un gouvernement affaibli, le mouvement ouvrier doit s’unir pour imposer ses revendications : hausse des salaires, retraite à 60 ans, services publics renforcés, partage du travail, transition écologique, et lutte contre le racisme et les oppressions. Il est essentiel d’unir les forces politiques, syndicales et associatives pour construire un Nouveau Front populaire dans les quartiers et entreprises, et mener ensemble ces combats sociaux.
C’est touTEs ensemble que nous pourrons gagner !
